Lydia Domancich invente son chemin avec une exigence féconde et une curiosité qui la mènent du Conservatoire de Paris à lʼimprovisation, au jazz, aux musiques du monde et à la composition notamment pour la danse (Dominique Bagouet, Jean Pomarés, Marie- Christine Gheorghi...) ou encore le flm documentaire : Cité des Sciences, Laurent Chevallier .

Parallèlement ses rencontres avec des peintres, des écrivains, des compositeurs, des metteurs en scène : Jean-Louis Barrault, Jerry Kolàr, Tom Phillips, Michel Butor, Henry Pousseur, Jean-Yves Bosseur, Bernard Lubat, Jeanine Baude...la font participer à de nombreux concerts-spectacles

En concert elle a joué au côté de Christian Vander, Silvia Malagugini, Abed Azrié...

Elle signe un premier album sous son nom en 1990 date de sa rencontre avec Pierre Marcault et retrouve la richesse rythmique qu’elle avait connue lors de séjour en Afrique

Aujourd'hui, elle se produit

En solo

"Un tour de piano en 80 minutes" autour de compositrices et de musiques du monde »
« Les mauvaises herbes » avec des textes de Sénèque à Andrée Chedid


En duo avec

Jean-Mathias Pétri (flûtes) " -Mélodies Improvisibles
Véronique Piron (flûte shakuhachi)
Jean-Luc Thomas (flûte en bois) "C'est pas grave"

Elle rejoint le travail de la compagnie avec une proposition de concert avec Sophie Chénet sur les structures sonores Baschet et la création de Calligraphie(s) avec Sophie Chénet et Bénédicte Jucquois mêlant arts visuels et musique.

Sa discographie atypique offre une palette d'une dizaine de créations dont Inlandsis co produit par la compagnie et remarqué par la critique Jazz en 2016.
Aussi grande marcheuse que musicienne chevronnée, elle arpente avec rigueur et enthousiasme les projets à venir prête à toutes les aventures.